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Destinations touristiques
Au coeur de la Comoé-Leraba, une expérience originale de gestion durable !
26 novembre 2010
Créée en 1999 à la fin d’un projet dont le but était de lutter contre la pauvreté, AGEREF sensibilise les populations à la conservation des espèces végétales et animales et à une gestion durable des ressources naturelles. Elle vise aussi à promouvoir l’éco-citoyenneté et, en partenariat avec le secteur privé, l’exploitation rationnelle des ressources naturelles d’autant que les forêts classées de Diéfoula et Logoniégué fournissent l’essentiel des revenus des populations riveraines. En 2001, l’association a ainsi obtenu de l’Etat, la concession de la gestion d’une zone de chasse, dans l’ouest du Burkina, à cheval entre deux communes, Niangoloko et Mangodara, à 540 km de Ouagadougou, la capitale dont 485 km de route bitumée.
D’une (...) Lire la suite
Région du Centre-sud : Son histoire, sa culture et son potentiel touristique
15 octobre 2010
De l’histoire de Kombissiri l’on retient que les premiers habitants à s’installer furent deux chefs, le Naaba Fangtinga d’origine nyonioga et le Naaba Kalkori-Tinga descendant de Zoungrana fils de Ouédraogo, fondateur de la chefferie mossi. Le nom Kombissiri serait issu de la fusion de deux mots « Kom » et « bissiri ». Kom signifie « eau » et bissiri « sable », ce qui traduit Kombissiri comme « Terre d’eau et de sable ».
L’histoire de la ville de Manga quant à elle serait liée à deux descendants de Zoungrana roi des Mossi : Karkui et Tampouy. Ces deux auraient quitté la cour royale par crainte d’assassiner le roi et d’usurper son pouvoir.
Cet exil forcé conduira Karkui et Tampouy successivement à Gampèla, Ramongo, Kombissiri et (...) Lire la suite
Potentiel touristique de Pô : Un échantillon visité
11 octobre 2010
Ce parc abrite 32 espèces d’animaux. On y trouve notamment des éléphants, des cobs de fassa, des singes, des hypotraques, des phacochères, des buffles, etc. Mais tenez- vous bien, la chasse y est interdite, la vitesse limitée à 60km/h et tout stationnement doit être signalé ou expliqué. Il est aussi interdit de jeter des sachets, des bouteilles tout au long de la traversée de la forêt.
La prochaine escale de l’équipe fut la case qui avait accueilli l’explorateur Binger, située à 7km du côté ouest de la ville de Pô. C’est une case qui remonte aux années 1800 et c’est logiquement que les intempéries ont eu raison d’elle. Mais le conseil municipal travaille en vue de réhabiliter ce monument touristique qui témoigne encore vivement d’un (...) Lire la suite
Gaoua - Le musée du Poni
17 juillet 2010
Outre le hall qui accueille des expositions temporaires, le musée compte trois salles d’exposition permanentes. La première est dédiée à la femme, la seconde à l’homme et la dernière aux cultes. Dans chacune d’entre elles, une série de photographies, prises au début du XXème siècle accompagnent les différents objets exposés.
C’est une société attachée aux cultes, où la femme avait toute sa place, que le visiteur pourra découvrir. Soumises à la même initiation que les hommes, dans une société matrilinéaire, les femmes se consacraient souvent à la poterie, la vannerie ou l’orpaillage. Leurs homologues masculins étaient quant à eux agriculteurs, chasseurs et guerriers.
L’habitat Lobi traditionnel est également reconstitué à (...) Lire la suite
Claire Farma, promotrice de la culture Lobi
17 juillet 2010
Le « djoro » : l’initiation septennale, les activités des hommes et des femmes, le recours aux fétiches ou encore les rites funéraires, voilà un éventail des sujets sur lesquels Claire Farma se montre intarissable. Photos et objets à l’appui, elle décortique pour le néophyte le mode de vie des populations du Sud-Ouest du Burkina Faso.
Claire Farma travaille au musée du Poni depuis son ouverture en 1990. Guide, documentaliste et régisseuse à la fois, elle se réjouit de l’évolution qu’a pu connaitre le musée depuis sa création. Aujourd’hui, celui-ci reçoit plus de deux mille visiteurs par an, à la fois étrangers et Burkinabè. Malgré tout, Mme Farma regrette de ne pas voir plus les premiers concernés pousser les portes des lieux. « Les (...) Lire la suite
Ruines de Loropéni : Le premier anniversaire de la consécration célébrée
28 juin 2010
26 juin 2009- 26 juin 2010, voilà déjà un an que le comité du patrimoine mondial a reconnu la valeur universelle, l’authenticité et l’originalité des ruines de Loropéni. Une première dans notre pays, une reconnaissance du génie de nos ancêtres. « Les ruines que nous admirons aujourd’hui restent le fruit du travail d’hommes et de femmes de génie. Elles sont le reflet de notre histoire, faite d’abnégation, de courage et d’ingéniosité », s’est exprimé le gouverneur de la région du Sud- Ouest qui a d’ailleurs demandé des applaudissements à titre posthume pour nos ancêtres.
La fierté est grande, les efforts à fournir pour restaurer, conserver et faire connaître le site le sont autant. Mais les grands voyages ont toujours commencé par un (...) Lire la suite
Ruines de Loropéni : Les journalistes comme ambassadeurs
28 juin 2010
Michael Pacodi, du bimensuel l’Evénement
Nous sommes édifiés par ce que nous avons vu. Nous lisions dans les journaux et suivions à la télé les Ruines de Loropéni qu’on nous présentait, mais nous n’avions pas eu l’occasion de venir faire une visite. C’est donc la première fois que nous visitons et franchement ce que nous pouvons dire c’est que ce site émerveille plus d’un dans la mesure où la hauteur des murs, la façon dont on a construit prouve qu’en réalité l’architecture utilisée était à cette époque d’une grande taille. C’est aussi une preuve pour montrer que les Africains avaient déjà une autre façon d’entreprendre des constructions dignes d’intérêts. Pour cette raison nous pensons que les Ruines de Loropéni doivent être (...) Lire la suite
Les zones touristiques du Burkina
13 février 2010
La zone du centre
Ouagadougou, la capitale du ’’Pays des Hommes Intègres’’, dotée d’infrastructures très variées et confortables, abrite tous les jours de grandes rencontres régionales, sous-régionales et internationales (séminaires, conférences, congrès ou ateliers) ; ce qui permet le développement d’un tourisme d’affaires. Plusieurs autres attractions et sites permettent un tourisme urbain, élargi à des excursions et circuits sur le site granitique de Laongo, la mare aux crocodiles de Sabou et celle de Bazoulé, le Ranch de Nazinga, le Parc Animalier de Ziniaré, le musée de Manega. C’est une zone où le touriste peut découvrir l’architecture Kassena de Tiébélé. Sur la route qui y mène, l’on peut également après une déviation, se (...) Lire la suite
Réhabilitation des sites touristiques : Bazoulé, bientôt une destination plus attrayante
29 décembre 2009
Le Naaba Kiiba de Bazoulé était visiblement réjoui d’accueillir dans la matinée du vendredi 14 août 2009, à son palais, le ministre de la Culture, du Tourisme et de la Communication Filippe Savadogo et sa délégation. Sur son boubou en “bogolan” est dessiné un majestueux crocodile, ce saurien qui fait la notoriété de la localité. “Vous m’avez honoré... que Dieu vous donne la force nécessaire de réaliser vos ambitions”, a formulé l’autorité coutumière à l’endroit du ministre Savadogo.
Le chef du département de la Culture, du Tourisme et de la Communication a expliqué à Naaba Kiiba le projet entamé par son ministère pour faire de Bazoulé un lieu touristique et de loisir plus attrayant. D’ailleurs, le palais du Naaba bénéficiera des (...) Lire la suite
Ensembles architecturaux
3 décembre 2009
Les murs sont recouverts d’argile, sans motifs. L’intérieur comporte les meubles et des ustensiles divers. La natte faite de paille sert de couche à même le sol en terre battue. L’organisation de la zaka tourne autour de la maison du chef de famille qui est de forme rectangulaire.
Chaque épouse dispose d’une case qu’elle partage avec les enfants en bas âge. Les plus grands sont regroupés dans les cases plus excentrées. Un mur en banco relie les cases entre elles et forme l’enceinte de la zaka. Cette disposition vulnérable, se justifie par la sécurité qui régnait dans l’empire mossi où les habitants n’avaient à craindre ni des esclavagistes, ni des invasions étrangères.
Les palais royaux sont plus majestueux dont les plus (...) Lire la suite
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