Tourisme au Burkina : Espoirs et inquiétudes pour les mois à venir
1er septembre 2014
La destination Burkina Faso n’est pas prisée en période de canicule. Les touristes, pour la plupart occidentaux, ne la supportent pas et préfèrent changer de destination ou reporter le déplacement. Aussi, c’est en partie grâce aux grandes manifestations à caractère culturel que le Burkina connait une activité touristique intense. Ces manifestations étaient négligeables pendant le deuxième trimestre de 2014.
Selon l’étude réalisée par l’Observatoire national du tourisme(OBSTOUR) et l’exploitation de sa base de données statistiques sur les Etablissement touristiques et d’hébergement (tout établissement commercial qui offre en location des chambres, suites de chambres ou unités de logement équipées et meublées, à une clientèle (...)
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Tourisme au Faso : Croissance positive dans le 4e trimestre 2013
1er septembre 2014
L’Observatoire national du tourisme (OBSTOUR) a le plaisir de mettreà votre disposition le numéro 003 du Baromètre trimestriel du tourisme au Burkina Faso. Pour cette nouvelle année, il vous souhaite plein succès dans vos activités.Il a aussi pour désir le renforcement de la collaboration avec vos différentes structures pour une économie du tourisme plus forte et durable.
La présente parution donne les tendances du secteur du tourisme au cours du quatrième trimestre de l’année 2013 et dégage les perspectivespour le 2ème trimestre 2014. Il fait un zoom sur les entreprises touristiques au Burkina Faso et annonce les dates de quelques évènements à venir. TENDANCE DU TROISIEME TRIMESTRE
Selon un sondage réalisé par l’Observatoire (...)
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La Randonnée touristique des Cascades gagne en maturité
25 août 2014
C’est à 10h22mn à Kiribina sous une fine pluie que M. Soungalo Appolinaire OUATTARA a donné le top de départ de la randonnée touristique des Cascades. Les milliers de jeunes venus des quatre coins du Burkina pour découvrir les merveilles touristiques de cette région étaient impatients de voir leurs rêves de visiter enfin le mont Ténakourou, la plus grande élévation du Burkina qui culmine à 747 mètres, se transformer en réalité. Les randonneurs ont fait escale à Sindou pour escalader les légendaires pics. La fête était à son paroxysme avec la fanfare venue de la Commune de Ouangolodougou en Côte-d’Ivoire avec ses majorettes. La population de Sindou pour sa part, n’était pas en reste. Elle est sortie avec ses masques que beaucoup de (...)
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Le FESDIG au festival Esperanzah en Belgique : une nouvelle ère dans la collaboration et la vie des deux festivals
4 août 2014
Les premiers contacts noués entre le festival dilembu au Gulmu(FESDIG) et Esperanzah datent de 2008. Déjà en 2009, les deux festivals ont renforcé leurs liens par un partenariat qui a ouvert la voie à des échanges culturels diversifiés et à un soutien considérable de la part d´Esperanzah au FESDIG.
Cette aventure humaine à abouti à des partages d’expériences. Il s’agira entre autres de la prestation d´artistes Belges et Burkinabé de part et d´autre, la présence d´un stand présentant le FESDIG à chaque édition du festival Esperanzah, la visite mutuelle des responsables des deux festivals.
Le partenariat a pris une forme nouvelle cette année avec la participation active d´une vingtaine de membres du festival Esperanzah. C´est à la (...)
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Le restaurant « l’Eau vive » : un havre de sérénité au cœur de Ouagadougou
28 juin 2014
Pouvez-vous nous présenter le Restaurant Eau Vive
Sœur Christine Bonkoungou
Pour vous présenter l’Eau Vive, je dois tout d’abord vous dire qui a eu l’inspiration de ces restaurants. C’est le Père Marcel Roussel Galle, prêtre français, qui a eu l’intuition de faire la mission à travers ce moyen qu’est la restauration… ce qui est très original.
Pourquoi le nom Eau Vive ? Le Père Roussel a été inspiré par le passage de l’Evangile de saint Jean (chap. IV) dans lequel Jésus rencontre la femme de Samarie au puits de Jacob. Alors qu’elle venait chercher de l’eau matérielle, Jésus lui révèle l’Amour miséricordieux en lui proposant une Eau Vive qui est son Amour et qui apaise toute soif. Depuis quand a-t-il été ouvert ?
Les premières (...)
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Royal Beach Hotel, le nouveau-né du parc hôtelier burkinabè
29 mai 2014
Situé à Dassasgho au pied de l’échangeur de l’Est, Royal Beach Hôtel compte 140 chambres, incluant 14 suites, sur sept (7) étages de luxes non fumeurs. L’hôtel est équipé d’un Wifi haut débit, restaurant-bar, salles de conférence, un service traiteur et une piscine à la disposition de sa clientèle. Selon le Directeur Général de l’hôtel, David Castoldi, « On va se démarquer des autres hôtels, avec des prestations et un service irréprochable et s’approcher de l’excellence. Nous avons tout le confort qu’il faut pour cela ».
Le tourisme burkinabè est un secteur classé prioritaire dans la Stratégie de Croissance Accélérée et de Développement Durable. Secteur très dynamique, il engrange des recettes annuelles à hauteur de 72 milliards de (...)
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Tourisme au Faso : Croissance positive dans le 4e trimestre 2013
18 mars 2014
L’Observatoire national du tourisme (OBSTOUR) a le plaisir de mettreà votre disposition le numéro 003 du Baromètre trimestriel du tourisme au Burkina Faso. Pour cette nouvelle année, il vous souhaite plein succès dans vos activités.Il a aussi pour désir le renforcement de la collaboration avec vos différentes structures pour une économie du tourisme plus forte et durable.
La présente parution donne les tendances du secteur du tourisme au cours du quatrième trimestre de l’année 2013 et dégage les perspectivespour le 2ème trimestre 2014. Il fait un zoom sur les entreprises touristiques au Burkina Faso et annonce les dates de quelques évènements à venir. TENDANCE DU TROISIEME TRIMESTRE
Selon un sondage réalisé par l’Observatoire (...)
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Séraphin Kouassi : « Sincèrement, je suis dépassé parce que je vois »
4 novembre 2013
« Les voyages forment la jeunesse », dit-on. On devrait dire « Les voyages forment », tout court. Qui ne revient jamais quelque peu changé, en bien ou en mal, après un séjour dans un pays étranger ?
De nationalité ivoirienne, Séraphin Kouassi a participé, en tant que professionnel du tourisme, au dernier Salon international du tourisme et de l’hôtellerie de Ouagadougou (Sitho) qui s’est tenu du 26 au 29 septembre. C’était sa première visite au Burkina. A la fin de son séjour, nous lui avons demandé quelle est l’image du Burkina qu’il emportera avec lui dans son pays.
C’est la première fois que vous visitez le Burkina. Comment appréciez-vous ce que vous avez vu et observé ?
Je vais être honnête avec vous ; je suis agréablement (...)
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SIMO 2013 : Promouvoir les prestataires de mariages
31 octobre 2013
La première édition du SIMO a pour thème « L’importance du mariage dans la société ». En effet, explique Kévin Sanou, commissaire principal, représentant la commissaire générale du SIMO « Le mariage est un fait historique mais aussi d’actualité. Dans les sociétés traditionnelles et modernes, le mariage reste une institution même si sa symbolique a évolué ». Se marier pour lui, « c’est quitter définitivement l’adolescence pour devenir adulte, assumer des responsabilités sociales, acquérir des droits et assumer des devoirs ». Le mariage donc est important et pour qu’il réussisse, chaque acteur doit bien jouer sa partition. Le SIMO : une vitrine pour les wedding planer et les prestataires associés.
Le SIMO se veut un outil unique (...)
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Sa Majesté le Roi Gan : « Un homme sans culture, est un homme sans âme »
29 octobre 2013
Lefaso.net : Est-ce facile de gouverner les Gans ?
Sa Majesté le Roi Gan : Assumer pleinement le rôle de chef de famille n’est déjà pas facile, à plus forte raison gouverner une société composée en majorité d’analphabètes. J’ai été choisi par les sages et j’accepte ce choix ; donc je dois gérer conflits, notamment les problèmes terriens.
Lefaso.net : Vous avez participé au Forum sur l’incivisme organisé en mai 2013. Quel message vous, autorités coutumières avez à lancer face à ce phénomène ?
Sa Majesté le Roi Gan : Nos enfants ont des comportements bizarres et ils réagissent violemment quand ils ne sont pas contents. Ont-ils conscience de ce qu’ils font ou sont-ils manipulés ? On ne parle que des droits des enfants, jamais de (...)
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